1311 private links
La consultation des pages Wikipedia liées au terrorisme ont chutées suite aux révélations d'Edward Snowden sur les écoutes massives de la NSA en 2013.
[...] rising to 3.0 million just before disclosures of the NSA's Internet spying programs. Views of the sensitive pages rapidly fell back to 2.2 million a month in the next two months and later dipped under 2.0 million before stabilizing below 2.5 million 14 months later
"We will spy on you" #nsagate
Je résume : un journal allemand affirme que les US nous espionnent tranquillement en infiltrant nos systèmes et en posant des micros dans notre ambassade (!).
Et la réponse de la France c'est... rien, on veut pas les vexer ? o_O
EDIT: La conclusion de l'article est un peu extrapolée, mais en gros c'est ça.
Réponse officielle : http://basedoc.diplomatie.gouv.fr/vues/Kiosque/FranceDiplomatie/kiosque.php?type=bafr
"Q - Bonjour, Selon Der Spiegel, la NSA américaine a directement mis sur écoute le ministère des affaires étrangères français ; est-ce le cas, est-ce que d'autres ministères français sont concernés et quelle réponse adopter face à cette situation ? Et est-ce que la France a obtenu des réponses des États-Unis sur la question de l'espionnage systématique des données des citoyens ?
R - Les informations de presse auxquelles vous vous référez n'apportent aucun élément nouveau.
M. Laurent Fabius, ministre des affaires étrangères, s'est exprimé sur ce sujet à l'Assemblée nationale le 3 juillet.
Le ministère des affaires étrangères attache la plus grande importance à la sécurité de son système d'information. Ses agents sont informés des risques et sont vigilants.
Notre système d'information diplomatique est protégé et sûr. Des captures d'écran ou le hameçonnage (phishing) de courriels émanant du domaine "diplomatie.gouv.fr" ne permettent pas une intrusion des applications sécurisées.
De manière plus générale, la Commission européenne a ouvert, au nom de tous les États membres, une discussion avec Washington sur ce sujet. C'est l'enjeu de la négociation engagée à Bruxelles pour un cadre européen renouvelé en faveur de la protection des données à caractère personnel. La France n'entend pas accepter un nivellement par le bas en la matière./."